histoire sans fin...

Y a t'il une fourmi pour sauver la reine ?

Au péril de leur vie, les fourmis survivantes se mirent en ordre de bataille pour tenter de sauver leur reine et les oeufs...

D'emblée, je m'écartais et assistais horrifié au sacrifice ultime.

Mille souvenirs de moments heureux partagés avec mes frères et soeurs fourmis venaient téléscoper mon esprit face à cette crémation barbare !

                   Michel, Christian, René, Anne, Olivier le 9 novembre 2011

Je sentais  ma gorge se serrer... des gouttes d'eau sortaient de mes yeux et dégoulinaient sur mes joues...

C'était chaud, je ne voyais plus rien !

                Jean-Pierre, Rémi, Karine, Cyrille le 1er décembre 2011

Comments

[Aulas Françoise]

Bonjour , vous voir et vous lire me ravie.
J'ai un souci technique et de meconnaissance pour lire les precedents passages de l'histoire sans fin.Comment faire ?
Une idée me vient en lisant le dernier paragraphe de faire un temps pub , une pause ds l'instant tragique, en faisant diversion sr la qualité du mouchoir qu'il tire d'une feuille de consoude
officinale ou de bouillon blanc .Et là après s'etre agréablement mouché ,oublié dans l'exploration sensorielle de son mouchoir il revient à la réalité .Fini le temps de pause ( ceux sont ces temps
de pause que notre cerveau nous octroie pour éviter la surpréssion et permettre la reconnection avec soi.A l'E.E.G reconnu sous le meode alpha).Dans la suite de l'histoire une idéé abracadabrante
lui surgit : pourqoi ne pas se servir des feuilles pour en faire des mongolfières gonflées au méthane naturel ??

[Temps Libéré]

Françoise, côté temps libéré, on trouve que tu décolles un peu trop vite pour nous !


Mais on continue à en discuter entre nous !


Merci pour ton enthousiasme, au plaisir de te revoir un jour par là !


PS : pour lire l'histoire sans fin, il faut que tu ailles dans la rubrique théâtre "histoire sans fin" à droite sur le blog

[caillat michel]

au petit matin il ne réstait plus rien de cette vie de bhonneur. C'est alors que résigné je me décidais a partir quand soudain j'entandi un énorme bruit dériére moi tout tramblant je me retournais
pour ressentir a nouvaux un énorme choc